Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.
L’heure de l’ange de Karel Schoeman, traduit de l’afrikaans par Pierre-Marie Finkelstein, Phébus, août 2018
La Maison Golden de Salman Rushdie, traduit de l’anglais par Gérard Meudal, Actes Sud, août 2018
Malencontre de Bodo Kirchhoff, traduit de l’allemand par Bernard Lortholary, Gallimard, octobre 2018
Les mille et une nuits de krushnik de Sholem-Aleikhem, traduit du yiddish par Nadia Déhan Rothschild et Evelyne Grumberg, l’antilope, octobre 2018
Rien d’autre sur Terre de Conor O’Callaghan, traduit de l’anglais (Irlande) par Mona de Pracontal, Sabine Wespieser, septembre 2018