Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.
James McLaughlin, Dans la gueule de l’ours, traduit de l’anglais (États-Unis) par Brice Matthieussent,
Rue de l’échiquier, janvier 2020
Rue de l’échiquier, janvier 2020
Elena Gianini Belotti, Avant le repos, traduit de l’italien par Christine Lau,
do, janvier 2020
do, janvier 2020
Fernando Rosas, L’art de durer. Le fascisme au Portugal,
traduit du portugais (Portugal) par Clara Domingues, Les éditions sociales, février 2020
traduit du portugais (Portugal) par Clara Domingues, Les éditions sociales, février 2020
Aki Ollikainen, Pastorale, traduit du finnois par Claire Saint-Germain,
Héloïse d’Ormesson, janvier 2020
Héloïse d’Ormesson, janvier 2020
Perumal Murugan, Le bûcher, traduit de l’anglais (Inde) par Emmanuelle Ghez,
Stéphane Marsan, janvier 2020
Stéphane Marsan, janvier 2020
Yukio Mishima, Vie à vendre, traduit du japonais par Dominique Palmé,
Gallimard, janvier 2020
Gallimard, janvier 2020