Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.
Panique printanière, Gertrud Leutenegger, traduit de l’allemand par Lionel Felchlin, Zoé, août 2017
Essai sur le fou de champignons, Peter Handke, traduit de l’allemand (Autriche) par Pierre Deshusses, Arcades, Gallimard, octobre 2017
Les bijoux bleus, Katharina Winkler, traduit de l’allemand par Pierrick Steunou , Jacqueline Chambon, septembre 2017
Imperium, Christian Kracht, traduit de l’allemand (Suisse) par Corinna Gepner, Phébus, octobre 2017
Faces. Une histoire du visage, Hans Belting, traduit de l’allemand par Nicolas Weill, Bibliothèque des Histoires, Gallimard, mars 2017