Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.
Seul le grenadier de Sinan Antoon, traduit de l’arabe (Irak) par Leyla Mansour (Actes Sud, 2017)
(Prix de la littérature arabe 2017)
La Fille de Souslov de Habib Abdulrab Sarori, traduit de l’arabe (Yémen) par Hana Jaber (Actes Sud, 2017)
Un oiseau bleu et rare vole avec moi de Youssef Fadel, traduit de l’arabe (Maroc) par Philippe Vigreux (Actes Sud, 2017).
Pas de couteaux dans les cuisines de cette ville de Khaled Khalifa, traduit de l’arabe (Syrie) par Rania Samara (Actes Sud, 2016).