Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.
Vers l’abîme, Erich Kästner, traduit de l’allemand par Corinna Gepner, Anne Carrière, janvier 2016
Nosaka aime les chats, Nosaka Akiyuki, traduit du japonais par Jacques Lalloz, Philippe Picquier, janvier 2016
Comme deux soeurs, Rachel Shalita, traduit de l’hébreu par Gilles Rozier, L’antilope, janvier 2016
Les anges radieux, William T. Vollmann, traduit de l’américain par Claro, Actes sud, janvier 2016