Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.
Svletana Alexievitch, La Fin de l’homme rouge, traduit du russe par Sophie Benech, Éditions Actes Sud
Andréa Del Fuego, Les Malaquias, traduit du portugais par Cécile Lombard,
Éditions de l’Aube, octobre 2015
Pauline Leet Pittenger, Sexisme, le mot pour le dire !, traduit de l’anglais par Sarah Vermande, Éditions iXe