Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.
Rien qu’une vie de Graham Norton, traduit de l’anglais (Irlande) par Sarah Champion,
Stéphane Marsan, 2018
L’oiseau captif de Jasmin Darznik, traduit de l’anglais (États-Unis) par Florence Moreau,
Stéphane Marsan 2018
Le bruit de la lumière de Katharina Hagena, traduit de l’allemand par Corinna Gepner,
Anne Carrière 2018
La transition de Luke Kennard, traduit de l’anglais (États-Unis) par Marie de Prémonville,
Anne Carrière 2018