Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.
Histoire de Sukhyang, dame vertueuse, roman anonyme du XVIIème siècle, traduit du coréen et commenté par Han Yumi et Hervé Péjaudier, Imago, 2017
Daphné disparue de José Carlos Somoza, traduit de l’espagnol par Marianne Millon, Babel 2017
À couteaux tirés de Nikolaï Semenovitch Leskov, traduit du russe par Gerard Conio et Julie Bouvard, Des Syrtes, 2017
La fille de Souslov de Habib Abdulrab Sarori, traduit de l’arabe (Yémen) par Hana Jaber, Sindbad, 2017