Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.
José Carlos Llop, Solstice, traduit de l’espagnol par Edmond Raillard, Jacqueline Chambon, septembre 2016
Inaam Kachachi, Dispersés, traduit de l’arabe (Irak) par François Zabbal, prix de Littérature arabe 2016, Gallimard 2016
Anton Tchekhov, Vivre de mes rêves, Lettres d’une vie, traduit du russe par
Nadine Dubourvieux, Laffont, octobre 2016
Edna O’Brien, Les petites chaises rouges, traduit de l’anglais ( Irlande) par Aude de Saint-Loup et Pierre-Emmanuel Dauzat, septembre 2016
Zijian Chi, Le dernier quartier de lune, traduit du chinois par Yvonne André et Stéphane Lévêque, Philippe Picquier, septembre 2016