Pablo de Santis
Eaux profondes
La chronique de Corinna Gepner Une petite ville fantôme sur la côte argentine, un hôtel en voie de construction, un colloque de traducteurs : tels sont les ingrédients de ce polar sud-américain traduit avec talent par René Solis. On ne dévoilera évidemment rien de l’intrigue, mais on soulignera l’heureuse surprise que l’on a en découvrant …