Le jury du prix Femina a retenu 11 romans étrangers pour son prix, qui sera décerné le 5 novembre.
- Nina Allan, La fracture, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Bernard Sigaud (Tristram)
- Ahmet Altan, Je ne reverrai plus le monde, traduit du turc par Julien Lapeyre de Cabanes (Actes Sud)
- Giosuè Calaciura, Borgo Vecchio, traduit de l’italien par Lise Chapuis (Notabilia)
- Arno Geiger, Le grand royaume des ombres, traduit de l’allemand (Autriche) par Olivier Le Lay (Gallimard)
- Chris Kraus, La fabrique des salauds, traduit de l’allemand par Rose Labourie (Belfond)
- Sergueï Lebedev, Les hommes d’août, traduit du russe par Luba Jurgenson (Verdier)
- Maggie Nelson, Bleuets, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Céline Leroy (Editions du Sous-sol)
- Sigrid Nunez, L’ami, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Mathilde Bach (Stock)
- Edna O’Brien, Girl, traduit de l’anglais (Irlande) par Aude de Saint-Loup et Pierre-Emmanuel Dauzat (Sabine Wespieser)
- Paolo Rumiz, Appia, traduit de l’italien par Béatrice Vierne (Arthaud)
- Manuel Vilas, Ordesa, traduit de l’espagnol par Isabelle Gugnon (Éditions du Sous-Sol)
6 de ces romans ont été traduits par des traducteurs membres de l’Association des traducteurs littéraires de France (ATLF).