L’ATLF a interrogé ses adhérents sur la post-édition

Plus de 400 traductrices et traducteurs adhérents de l’ATLF ont répondu à cette enquête maison. Pour les 55% de NON, la post-édition retire tout le plaisir de la traduction littéraire, enlève son sens au métier, pose des problèmes d’éthique, n’est pas une activité assez rémunératrice et les délais imposés sont trop courts.

Découvrez ci-dessous et dans notre page dédiée aux travaux que nous menons tous les éléments de notre enquête et notamment le pourquoi des 40% de traducteurs et traductrices qui n’accepteraient de travailler en post-édition derrière une IA que « par contrainte ». ENQUETE TRADUCTION AUTOMATIQUE