On en retrouve, des trésors, en rangeant nos archives !
En 1989, l’ATLF n’était pas encore Charlie mais était déjà Salman.
Et quelques traducteurs intrépides commençaient à lâcher leur machine à écrire, et même à facturer leurs disquettes à leurs éditeurs, sans pour autant s’aventurer sur les autoroutes de l’information – c’était encore un peu tôt –, comme en témoigne cette enquête sur l’équipement informatique de nos adhérents ! (Pour la lire, cliquer sur l’image et agrandir.)