Les éditions Gallmeister viennent de faire paraître une nouvelle traduction, par Josette Chicheportiche, du best-seller de Margaret Mitchell, Autant en emporte le vent, tombé depuis le 1er janvier 2020 dans le domaine public. Au même moment, les éditions Gallimard proposent en format Folio une nouvelle édition de la première traduction du roman, due à Pierre-François Caillé et parue en 1939. Vous trouverez dans le journal en ligne L’Orient-Le Jour une analyse comparative de ces deux traductions.
Vous pourrez lire aussi dans En attendant Nadeau un article intitulé « Les traductions passent, le racisme reste » qui, au delà d’une comparaison des deux traductions, s’attache surtout à analyser le point de vue du narrateur.