Niveurmôrre
Julien Zanetta vient de rassembler dans un ouvrage intitulé Niveurmôrre et publié aux éditions de la Librairie Droz seize traductions du poème Le Corbeau d’Edgar Allan Poe, parues entre 1853 et 1889. À travers ces différentes versions, il montre comment l’histoire de la traduction de ces poèmes se conforme à l’histoire du vers.
Lire et travailler avec la traduction par temps de mondialisation
Les actes de l’atelier présenté à Lille lors du 8ème congrès de la Société Européenne de Littérature Comparée du 26 au 30 août 2019 sont en ligne sur le site Fabula. En voici le détail avec les liens correspondants :
Introduction (Chloé Chaudet et Claire Placial)
Lettres du Nouveau Monde. Lire une traduction à l’ère de la première mondialisation (Louis Watier)
Retours aux langues autochtones : perspectives et pratiques comparatistes engagées par les littératures en « langues rares » (Afrique-Amérique-Australie) (Cécile Brochard)
Trois approches de la littérature chinoise en traduction (Céline Barral)
La surinterprétation en traduction littéraire et ses conséquences dans la réception des textes traduits. Quelques réflexions depuis la Turquie (Didem Tuna)
Mondialisation et traduction dans les cultures de jeunesse. L’exemple de La Belle et la Bête en Russie (Virginie Tellier)
Modeste proposition pour empêcher les comparatistes de France de renoncer à travailler sur des textes traduits et pour prouver leur utilité à tous les élèves et étudiants en Lettres (Chloé Chaudet et Claire Placial)
Le mot de la traductrice
Le quotidien suisse Le Courrier comprend une rubrique intitulée « Le mot de la traductrice », dans laquelle une traductrice présente son travail sur une œuvre. Nous vous proposons, puisqu’il est en accès libre, de lire celui de Joëlle Bélard-Ruchonnet à propos d’un texte de Juliana Restrepo, autrice colombienne. Pour en découvrir d’autres, il convient de s’abonner.