Décoller sans déconner…

par Françoise Wuilmart Oui, telle est ma devise, ma philosophie de la traduction littéraire bien comprise… En effet : n’embrasse-t-elle pas des siècles d’écriture sur le sujet ? Décoller : songez aux « Belles infidèles » de Georges Mounin, avec dans ses armoiries Cicéron, saint Jérôme, Schleiermacher ou plus près de nous le cibliste Jean-René …