Traducteurs en couverture/ Rentrée d’hiver

Certains éditeurs jugent normal, légitime, voire important d’informer leur lecteur, dès la couverture, que l’ouvrage qu’il achète est une traduction, et que cette traduction a un auteur.

Un tramway long comme la vie de Vladimir Maramzine, 
traduit du russe par Anne-Marie Tatsis Botton, Noir sur Blanc, janvier 2019
Nous qui n’étions rien de Madeleine Thien,
traduit de l’anglais (Canada) par Catherine Leroux, Phébus, janvier 2019
Les tribulations d’Arthur Mineur d’Andrew Sean Greer,
traduit de l’anglais (États-Unis) par Gilbert Cohen-Solal, Jacqueline Chambon, janvier 2019
Ce que cela coûte de Wilfred Charles Heinz,
traduit de l’anglais par Emmanuelle et Philippe Aronson, Monsieur Toussaint Louverture, février 2019
La contrée de Ben Metcalf,
traduit de l’anglais (États-Unis) par Séverine Weiss,
Post-Éditions, février 2019