Andrus Kivirähk

La chronique de Corinna Gepner

Chronique de quelques détraquements… D’Andrus Kivirähk, nous avions déjà signalé L’homme qui savait la langue des serpents (trad. Jean-Pierre Minaudier), aux éditions du Tripode. Voici à présent Les groseilles de novembre, considéré en Estonie comme son meilleur roman. Chronique au jour le jour d’un petit village estonien, Les Groseilles nous plonge dans le quotidien farcesque …

Poissons et reptiles

En hors d’œuvre, Truite à la slave, d’Andreï Kourkov. Ou l’histoire de Vania Soleïlov, détective privé de son état, qu’une de ses enquêtes mène plus loin qu’il n’aurait pu l’imaginer : à la rencontre de lui-même, et ce au fil des plats qu’il déguste chaque soir au Casanova, restaurant où il a ses habitudes. Ces plats, …